Microsoft vs Linux
Beaucoup de personnes se disent “pro” Windows et d’autre “pro” Linux, c’est une belle erreur. Chacun à ses atouts, il faut savoir les utiliser dans leurs rôles de prédilection !
Cet article présente les différentes raisons d’utiliser un type de système opérant plutôt qu’un autre. Windows est convivial donc il est plus accessible de part les interfaces graphiques. Cependant, Linux est nettement plus intéressant dans un rôle serveur donc il est préférable pour des raisons de performances de ne pas installer Gnome ou même KDE par exemple. Malgré tout, les postes clients peuvent être sur une base Ubuntu, Debian, CentOS ou même Redhat. La communauté Linux a bien fait évolué ces interfaces ces dernières années.
Fiabilité & Performance
Les produits Microsoft sont généralement très “user friendly”. Par contre, la stabilité des systèmes opérants est bien moindre. C’est vrai, il est plus rare de voir des blue screen. Entre Windows 95 et Windows 2019, nous ne sommes plus dans le même monde ! Les OS Microsoft sont consommateurs de ressources systèmes et la fiabilité est en deçà des systèmes Linux. Le maitre dans le domaine est bien Debian. Sa stabilité accrue lui permet d’être déployé sur les grosses architectures internationales. Sur un hardware équivalent, les performances d’un MariaDB sur un serveur Debian face en SQLserver Windows ne sont plus à prouver. Bien sûr, SQLserver est déployé dans de nombreuses organisations. Néanmoins, lorsqu’il est nécessaire d’avoir des charges de connexions élevées donc un nombre de requêtes importantes. Un bon vieux Linux va le coiffer au poteau. Idem pour un comparatif Apache2 et IIS pour les connaisseurs. Chez Microsoft, Active Directory est la référence des annuaires, tout comme Exchange dans la messagerie. Les produits Linux sont stable mais ils offrent moins de fonctionnalité. Ils sont plus spartiates sur ces deux sujets. Vous l’avez compris tout ne dépend pas uniquement du système hardware. Dés la conception, les choix stratégiques en fonction de la charge va être primordiales. Petit clin d’œil aux développeurs d’applications, quelque soit le middleware utilisé. Les codes et les requêtes en bases de données doivent toujours être optimisés. Cela évite d’augmenter les performances hardware à cause de la non optimisation applicative.
Accessibilité & Finance
En terme d’argent, il est vrai que les produits Linux sont ouverts à tous. Le bémol, les compétences a acquérir son plus complexe et nécessite de l’expertise. Cette expertise “humaine” coûte très chère à une compagnie. Microsoft fonctionne avec des licences. Pour le grand publique sont abordable mais lorsque nous entrons dans le monde professionnel. Ce n’est plus la même danse ! Dans la mesure où, il n’est évidement pas question d’utiliser des licences illégalement. Pour ceux faisant ce mauvais choix, il est intéressant de savoir que Microsoft mène activement des contrôles dans toutes les entreprises. Les produits numériques ont une valeur monétaire. Rien est gratuit et c’est normal. Windows grâce aux interfaces graphiques facilite l’appropriation de leurs outils. A savoir, l’un comme l’autre propose des certifications à ceux qu’ils le souhaitent. Les prix sont variables.
Le choix de l’architecture est la pierre angulaire d’un bon service applicatif pour vos clients.